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Mots du Ciel

17 juin 2016

La Vierge Marie est là, assise sur le haut du mur

Saint Pierre, gardien du Paradis, reçoit un jour dans son bureau la visite du Père Eternel : - Alors Saint Pierre, tout se passe bien ? - Oh oui mon Dieu ! Je fais bien attention et tous ceux qui entrent le méritent ! - Bien...voyons le registre !


Le Père ouvre le registre de Saint Pierre, l'examine, fronce les sourcils et se tourne vers Saint Pierre : - Mais ça ne va pas... Tu as laissé entrer des gens qui ne méritaient pas d'entrer au Paradis ! 

Mais Saint Pierre ne reconnaît même pas les noms que le Père a pointés sur le registre, il n'y comprend rien ! La semaine suivante, il redouble de vigilance… Peine perdue : beaucoup d’âmes sont entrées qu’il n’a pas vues passer... Pierre, affligé, sent alors une main se poser sur son épaule : c'est Jésus, qui lui sourit et murmure :

- Ah Saint Pierre, tu n’as pas encore compris ? Suis-moi...  Après quelques minutes de marche, ils atteignent le mur d'enceinte du Paradis...: la Vierge Marie est là, assise sur le haut du mur, elle tend son chapelet de l'autre côté et remonte les âmes qui s'y accrochent... C'est de cette manière que tant d'âmes ont trouvé le chemin vers le Paradis. 

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1 mai 2016

Les sacrifices pour la conversion des pêcheurs

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Les enseignements de l’Ange en 1916

Le premier élément de la dévotion au Cœur Immaculé de Marie enseigné par Notre-Dame aux petits voyants de Fatima fut de faire des prières et des sacrifices pour la conversion des pécheurs. Ils furent préparés à recevoir cette révélation par les apparitions de l’Ange en 1916.
À la première, l’Ange leur apprit une prière pour les pécheurs : « Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n'adorent pas, qui n'espèrent pas, qui ne Vous aiment pas. »
À la deuxième, il leur dit : « Que faites-vous ? Priez, priez beaucoup ! Les Cœurs de Jésus et de Marie ont sur vous des desseins de miséricorde. Offrez constamment au Très-Haut des prières et des sacrifices. »
Lucie répliqua : « Comment devons-nous faire des sacrifices ? »
L’Ange lui répondit : « De tout ce que vous pourrez, offrez à Dieu un sacrifice en acte de réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs. De cette manière, vous attirerez la paix sur votre patrie. Je suis son Ange gardien, l’Ange du Portugal. Surtout, acceptez et supportez, avec soumission, les souffrances que le Seigneur vous enverra. »
À la troisième, il leur apprit une prière se terminant par : « Par les mérites infinis de son très Saint Cœur [de Jésus] et du Cœur Immaculé de Marie, je Vous demande la conversion des pauvres pécheurs. »

 Les enseignements de Notre-Dame en 1917

L’année suivante, à la première apparition (13 mai), Notre-Dame demanda aux petits voyants : « Voulez-vous vous offrir à Dieu pour supporter toutes les souffrances qu’Il voudra vous envoyer, en acte de réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs ? »

À la deuxième (13 juin), Notre-Dame leur révéla que Jésus voulait établir dans le monde la dévotion au Cœur Immaculé, mais elle ne leur dit pas en quoi elle consistait. Or les petits voyants n’avaient guère d’instruction et ne pouvaient pas savoir en quoi elle consistait. Il était donc logique que la Sainte Vierge le leur apprenne dans les apparitions suivantes. Et c’est effectivement ce qui arriva.
À la troisième apparition (13 juillet), après un court dialogue, Notre-Dame leur dit : « Sacrifiez-vous pour les pécheurs, et dites souvent, spécialement chaque fois que vous ferez un sacrifice : "Ô Jésus, c’est par amour pour Vous, pour la conversion des pécheurs, et en réparation des péchés commis contre le Cœur Immaculé de Marie" ».
Puis, après leur avoir montré l’enfer et confié le secret, elle termina en leur apprenant une deuxième prière : « Quand vous réciterez le chapelet, dites après chaque mystère : "Ô mon Jésus, pardonnez-nous (1). Préservez-nous du feu de l’enfer, conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui en ont le plus besoin" ».
Enfin, à la quatrième apparition (19 août), Notre-Dame, juste avant de partir, leur recommanda : « Priez, priez beaucoup et faites des sacrifices pour les pécheurs. Car beaucoup d'âmes vont en enfer parce qu'elles n'ont personne qui se sacrifie et prie pour elles. »

 Les précisions de Notre-Seigneur

Plus tard, Notre-Seigneur précisa les sacrifices qu’Il désirait. Dans une lettre du 28 février 1943, sœur Lucie confia à Monseigneur Feirrera qui fut un de ses conseillers spirituels : « Voici la pénitence que le Bon Dieu demande aujourd’hui : c’est le sacrifice que chacun doit s’imposer à soi-même pour mener une vie de justice dans l’observance de sa loi. Et Il désire que l’on fasse connaître clairement cette voie aux âmes, car beaucoup donnent au mot "pénitence" le sens de grandes austérités, et comme elles ne se sentent ni force ni générosité pour cela, elles se découragent et se laissent aller à une vie de tiédeur et de péché.
Du jeudi au vendredi, me trouvant dans la chapelle avec la permission de mes supérieures, à minuit, Notre-Seigneur me dit : "Le sacrifice qu’exige de chacun l’accomplissement de son propre devoir et l’observance de ma loi, voilà la pénitence que je demande et que j’exige maintenant". »

Deux mois plus tard, dans une lettre du 4 mai 1943, elle confia au père Gonçalvès, un autre de ses directeurs spirituels qui avait été envoyé au Mozambique deux ans plus tôt : « Il désire que l’on fasse comprendre aux âmes que la véritable pénitence qu’Il veut et exige maintenant consiste avant tout dans le sacrifice que chacun doit s’imposer pour accomplir ses propres devoirs religieux et matériels. »

Cette pratique est donc simple et accessible à tout le monde. Il ne s’agit pas de s’imposer des mortifications ou de réciter de nombreuses prières. Non ! Ce que le Ciel nous demande, c’est d’accomplir honnêtement notre devoir d’état, de respecter la loi divine et d’offrir les efforts que cela nous demande pour la conversion des pécheurs et pour réparer les outrages commis envers les cœurs de Jésus et de Marie.

Le point le plus important du message de Fatima

Sœur Lucie n’a cessé de répéter que les prières et les sacrifices pour la conversion des pécheurs constituaient le point fondamental de la dévotion au Cœur Immaculé de Marie. Au père Thomas McGlynn, un dominicain américain qui voulait sculpter une statue de Notre-Dame de Fatima et lui demandait en quoi consistait son message, elle répondit : « La conversion des pécheurs, et le retour des âmes à Dieu. Cette idée a été répétée dans toutes les apparitions ; c’est pourquoi je considère que c’est l’essentiel du message ». (En toute rigueur, la Sainte Vierge n’a abordé ce thème que dans trois apparitions, la première, la troisième et la quatrième. Mais, il a également été abordé dans les trois apparitions de l’Ange en 1916, soit en tout six apparitions sur neuf.)
De même, le 12 août 1946, à John Haffert, l’un des fondateurs de l’Armée bleue, qui lui posait des questions sur ce point précis, sœur Lucie répondit :

— Quelle est la principale demande de Notre-Dame ?
— Le sacrifice.
— Et qu’entendez-vous par sacrifice ?
— Par sacrifice, Notre-Dame a dit qu’elle entendait l’accomplissement loyal du devoir d’état quotidien de chacun.
— Mais le Rosaire n’est-il pas important ?
— Si, car nous devons prier afin d’obtenir les forces pour être capables d’accomplir notre devoir quotidien.

 

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1 mai 2016

La Consécration au Cœur Immaculée de la Vierge Marie

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Tout comme le culte du Sacré-Cœur comprend la consécration à ce Sacré-Cœur, de même, la consécration au Cœur Immaculé de Marie est l'un des points de la dévotion au Cœur Immaculé de Marie, dont Dieu veut l'établissement dans le monde.

Cette consécration peut être faite de diverses façons :

  • consacrer sa paroisse ;
  • Notre-Dame demanda la consécration d'un pays ;
  • Plusieurs diocèses dans le monde sont consacrés au Cœur Immaculé de Marie, etc.

De plus, en 1916, les trois fois où l'Ange parla du Cœur Immaculé de Marie, à chaque fois il y associa le Cœur de Jésus. Pour répondre à cette insistance de l'Ange, il est proposé que chacun d'entre nous se consacre "au Très Saint Cœur de Jésus et au Cœur Immaculé de Marie", selon la propre expression qu'il employa au cours de l'apparition de l'automne 1916.

 

Les dates pour s'inscrire en ligne (cf lien)

Afin de nous soutenir mutuellement, il est également pertinent de réaliser ces consécrations le plus possible ensemble. C'est pourquoi, avec le soutien de Monseigneur Rey, évêque de Fréjus-Toulon, nous vous proposons de vous consacrer à l'une des dates suivantes :

  • 13 mai 2016 : 1ère apparition de Notre-Dame
  • 31 mai 2016 : Marie Reine (rit extraordinaire) ; La Visitation (rit ordinaire)
  • 4 juin 2016 : Cœur Immaculé de Marie (rite ordinaire)
  • 16 juillet 2016 : Notre Dame du Mont carmel
  • 15 août 2016 : Assomption
  • 22 août 2016 : Cœur Immaculé de Marie (rite extraordinaire)
  • 8 septembre 2016 : Nativité de la Sainte Vierge
  • 8 octobre 2016 : Notre Dame du Rosaire
  • 8 Décembre 2016 : Noël
  • 1er Janvier 2017 : Marie Mère de Dieu
  • 11 février 2017 : Notre Dame de Lourdes
  • 25 mars 2017 : Annonciation
  • 23 avril 2017 : La Miséricorde
  • 31 mai 2017 : La Visitation
  • 24 juin 2017 : Cœur Immaculée de Marie (rite ordinaire)
  • 16 juillet 2017 : Notre Dame du Mont Carmel
  • 15 août 2017 : Assomption
  • 8 septembre 2017 : Nativité de la Sainte Vierge
  • 13 octobre 2017 : Centenaire de la dernière apparition de Fatima !

Ceux qui sont déjà consacrés pourront renouveler leur consécration à l'une de ces dates.

 

la Préparation : les Méditations (cf lien)

Pour bien comprendre l'importance d'un tel acte, une préparation de 30 jours est proposée. Si une telle préparation vous semble difficile, il vous est proposé de faire une préparation de 9 jours. Mais, il est vivement conseillé de choisir une préparation de 30 jours. Saint Louis-Marie Grignion de Montfort prévoit même 33 jours. Et Notre-Seigneur est allé 40 jours au désert avant de commencer sa vie publique.
Saint Louis-Marie propose une préparation sur 33 jours. Mais les textes qu'il propose servent pour plusieurs jours. Il est donc possible de réduire la à 30 jours.

Voici également les conseils que donne saint Louis-Marie Grignion de Montfort pour ce jour de consécration :

"Au bout de ces trois semaines [de préparation], ils se confesseront et communieront à l'intention de se donner à Jésus-Christ, en qualité d'esclaves d'amour, par les mains de Marie. Et, après la communion (...), ils réciteront la formule de leur consécration (...) ; il faudra qu'ils l'écrivent ou la fasse écrire, si elle n'est imprimée, et qu'ils la signe le même jour qu'ils l'auront faite."

Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge, n° 231

 

La consécration au Coeur Immaculé de Marie - Centenaire des apparitions de Fatima

Tout comme le culte du Sacré-Cœur comprend la consécration à ce Sacré-Cœur, de même, la consécration au Cœur Immaculé de Marie est l'un des points de la dévotion au Cœur Immaculé de Marie, dont Dieu veut l'établissement dans le monde.

http://www.fatima100.fr

 

Inscription - Centenaire des apparitions de Fatima

Site destiné à propager la dévotion au Cœur Immaculé de Marie à l'occasion du centenaire des apparitions de Notre-Dame à Fatima

http://www.fatima100.fr

 

 

Méditations - Centenaire des apparitions de Fatima

Site destiné à propager la dévotion au Cœur Immaculé de Marie à l'occasion du centenaire des apparitions de Notre-Dame à Fatima

http://www.fatima100.fr

 

 

Prières de consécration - Centenaire des apparitions de Fatima

Pour votre consécration, nous vous proposons les prières suivantes : Acte de consécration au Cœur Immaculé de Marie ( Télécharger le fichier pdf) Consécration à Jésus-Christ par les mains de Marie de saint Louis-Marie Grignion de Montfort ( Télécharger le fichier pdf ) Consécration au Cœur Immaculé de Marie de saint Maximilien Kolbe ( Télécharger le fichier pdf) Consécration au Cœur Immaculé de Marie du père Alonso ( Télécharger le fichier pdf) Courte consécration au Cœur Immaculé de Marie ( Télécharger le fichier pdf) Sainte Vierge Marie, ô toute immaculée !

http://www.fatima100.fr

 

1 mai 2016

L'histoire des apparitions de Fatima

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Et maintenant une histoire !

En l'année 1917, le Por­tu­gal tra­ver­sait une triste période. Dirigé par un gou­ver­ne­ment qui per­sé­cu­tait la reli­gion, ce pays, divisé, ruiné, envahi par le com­mu­nisme, sem­blait aller à sa perte. En même temps, les armées por­tu­gaises par­ti­ci­paient à la grande guerre, et, dans plus d'un foyer, on pleu­rait les sol­dats tom­bés bien loin, là-​bas, sur une terre étran­gère.

http://www.maintenantunehistoire.fr

 

1 mai 2016

Les 15 minutes de méditation du Rosaire - Premiers samedis du mois

 

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 les Méditations en ligne (cf. Lien)

Les méditations qui suivent ont été rédigées par l'abbé Delagneau et sont publiées ici avec son aimable autorisation. Mais vous êtes vivement encouragé à vous procurer les petits livrets d'où elles ont été tirées et que vous pouvez commander sur la page Fatima Centenaire du site Livres en Famille.

Ces méditations sont destinées à aider à faire les 15 minutes  demandées par Notre-Dame pour la communion réparatrice des premiers samedis du mois.

Il suffit de choisir un mystère et de lire en méditant les quelques pages qui lui sont dédiées. Il n'est pas nécessaire de faire tous les mystères.

 

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Méditations - Centenaire des apparitions de Fatima

Les méditations qui suivent ont été rédigées par l'abbé Delagneau et sont publiées ici avec son aimable autorisation. Mais vous êtes vivement encouragé à vous procurer les petits livrets d'où elles ont été tirées et que vous pouvez commander sur la page Fatima Centenaire du site Livres en Famille.

http://www.fatima100.fr


 

 

Les méditations selon soeur Lucie (tiré d'une lettre au père Martins) :

 Voici ma façon de faire les méditations sur les mystères du rosaire, les premiers samedis. Premier mystère : l’annonciation de l’ange Gabriel à Notre-Dame. Premier préambule : me représenter, voir et entendre l’ange saluer Notre-Dame avec ces paroles : « Je vous salue Marie, pleine de grâce ». Deuxième préambule : je demande à Notre-Dame qu’elle infuse dans mon âme un profond sentiment d’humilité. Premier point : Je méditerai la manière dont le Ciel proclame que la très Sainte Vierge est pleine de grâce, bénie entre toutes les femmes et destinée à être la Mère de Dieu. Deuxième point : L’humilité de Notre-Dame se reconnaissant et se disant la servante du Seigneur. Troisième point : comment je dois imiter Notre-Dame dans son humilité, quelles sont les fautes d’orgueil et de superbe par lesquelles j’ai l’habitude de déplaire à Notre-Seigneur, et quels sont les moyens que je dois employer pour les éviter, etc.
Le deuxième mois, je fais la méditation du deuxième mystère joyeux. Le troisième, du troisième et ainsi de suite, en suivant la même méthode pour méditer. Quand j’ai fini ces cinq premiers samedis, j’en recommence cinq autres et je médite les mystères douloureux, ensuite les glorieux et, quand je les ai terminés, je recommence les joyeux.

 

 

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1 mai 2016

Les 5 premiers samedis du Mois

 

Les premiers samedis du mois - Centenaire des apparitions de Fatima

C'est au cours de l'apparition du 13 juillet 1917 que Notre-Dame parla pour la première fois des premiers samedis du mois en révélant aux petits voyants : " Je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé et la communion réparatrice des premiers samedis du mois.

http://www.fatima100.fr


   

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La communion réparatrice des premiers samedis du mois

Les demandes de Notre-Dame

C’est au cours de l’apparition du 13 juillet 1917 que Notre-Dame parla pour la première fois des premiers samedis du mois en révélant aux petits voyants : « Je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé et la communion réparatrice des premiers samedis du mois. » 
Notons que la Sainte Vierge parle des premiers samedis du mois de façon générale, sans en préciser le nombre. Ce n’est que le 10 décembre 1925 à Pontevedra qu’elle le fera. Voici les paroles de Notre-Dame que sœur Lucie entendit ce jour-là (tirées d’une lettre à son confesseur, le père Aparicio) : 

Vois, ma fille, mon Cœur entouré des épines que les hommes m’enfoncent à chaque instant, par leurs blasphèmes et leurs ingratitudes. Toi, du moins, tâche de me consoler et dis que tous ceux qui,
- pendant cinq mois, le premier samedi,
- se confesseront,  --> CONFESSION
- recevront la sainte Communion, --> COMMUNION
- réciteront un chapelet --> CHAPELET
- et me tiendront compagnie pendant quinze minutes, en méditant sur les quinze mystères du Rosaire. --> 15 min MÉDITATION 
- en esprit de réparation,
je promets de les assister à l’heure de la mort, avec toutes les grâces nécessaires pour le salut de leur âme.

Les assouplissements de l’Enfant-Jésus

Deux mois plus tard, le 15 février 1926, l’Enfant Jésus apparut à sœur Lucie et assouplit les conditions posées par Notre-Dame. Voici un extrait du dialogue qui s’établit entre eux (tiré d’une lettre à Mgr Pereira Lopès, un de ces anciens confesseurs) :

— Mon confesseur disait dans sa lettre que cette dévotion ne faisait pas défaut dans le monde, parce qu’il y avait déjà beaucoup d’âmes qui Vous recevaient chaque premier samedi, en l’honneur de Notre-Dame et des quinze mystères du Rosaire.
— C’est vrai ma fille, que beaucoup d’âmes commencent, mais peu vont jusqu’au bout et celles qui persévèrent, le font pour recevoir les grâces qui y sont promises. Les âmes qui font les cinq premiers samedis avec ferveur et dans le but de faire réparation au Cœur de ta Mère du Ciel me plaisent davantage que celles qui en font quinze, tièdes et indifférents.
— Mon Jésus ! Bien des âmes ont de la difficulté à se confesser le samedi. Si vous permettiez que la confession dans les huit jours soit valide ?
— Oui. Elle peut être faite même au-delà, pourvu que les âmes soient en état de grâce le premier samedi lorsqu’elles me recevront, et que, dans cette confession antérieure, elles aient l’intention de faire ainsi réparation au Sacré-Cœur de Marie.
— Mon Jésus ! Et celles qui oublieront de formuler cette intention ?
— Elles pourront la formuler à la confession suivante, profitant de la première occasion qu’elles auront pour se confesser.

Les précisions de Notre-Seigneur

Quatre ans plus tard, le père Gonçalvès, qui avait remplacé le père Aparicio comme confesseur, demanda à sœur Lucie de répondre par écrit à cinq questions sur la dévotion des premiers samedis du mois. Voici ses réponses (extrait de la lettre envoyée au père Gonzalès) :

1. Quand ? Le 10 décembre 1925.
Comment ? Par une apparition de Notre-Seigneur et de la Très Sainte Vierge qui me montra son Cœur Immaculé entouré d’épines et demandant réparation.
Où ? À Pontevedra (Passage Isabelle II). La première apparition (eut lieu) dans ma chambre, la seconde près du portail du jardin où je travaillais.

2. Les conditions requises ?
Durant cinq mois, le premier samedi, recevoir la Sainte Communion, dire le chapelet, tenir compagnie quinze minutes à Notre-Dame en méditant les mystères du Rosaire, et se confesser avec la même intention. La confession peut se faire un autre jour, pourvu qu’on soit en état de grâce en recevant la Sainte Communion.

3. Avantages ou promesses.
« Aux âmes qui chercheront à me faire réparation de cette manière (dit Notre-Dame), je promets de les assister à l’heure de la mort avec toutes les grâces nécessaires au salut ».

4. Pourquoi cinq samedis et non neuf, ou sept en l’honneur des douleurs de Notre-Dame ?
Me trouvant dans la chapelle avec Notre-Seigneur une partie de la nuit du 29 au 30 de ce mois de mai 1930, et parlant à Notre-Seigneur des questions quatre et cinq, je me sentis soudain possédée plus intimement par la divine présence et, si je ne me trompe, voici ce qui m’a été révélé :
« Ma fille, le motif en est simple. Il y a cinq espèces d’offenses et de blasphèmes proférés contre le Cœur Immaculé de Marie :
1) les blasphèmes contre l’Immaculée Conception,
2) les blasphèmes contre sa virginité,
3) les blasphèmes contre sa maternité divine, en refusant en même temps de la reconnaître comme Mère des hommes,
4) les blasphèmes de ceux qui cherchent publiquement à mettre dans le cœur des enfants l’indifférence ou le mépris, ou même la haine à l’égard de cette Mère Immaculée,
5) les offenses de ceux qui l’outragent directement dans ses saintes images.
Voilà, ma fille, le motif pour lequel le Cœur Immaculé de Marie m’a inspiré de demander cette petite réparation, et, en considération de celle-ci, d’émouvoir ma miséricorde pour pardonner aux âmes qui ont eu le malheur de l’offenser. Quant à toi, cherche sans cesse, par tes prières et tes sacrifices, à émouvoir ma miséricorde à l’égard de ces pauvres âmes ».

5. Ceux qui ne pourront accomplir les conditions le samedi, ne peuvent-ils y satisfaire le dimanche ?
« La pratique de cette dévotion sera également acceptée le dimanche qui suit le premier samedi, quand mes prêtres, pour de justes motifs, le permettront aux âmes ».

 

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4 avril 2016

Discussion entre deux jumeaux dans le ventre de leur maman

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Deux jumeaux discutent dans le ventre de leur mère. 

- Bébé 1 : Et toi, tu crois à la vie après l’accouchement ?

- Bébé 2 : Bien sûr. C’est évident que la vie après l’accouchement existe. Nous sommes ici pour devenir forts et nous préparer pour ce qui nous attend après.

- Bébé 1: Pffff... tout ça, c’est insensé. Il n’y a rien après l’accouchement ! A quoi ressemblerait une vie hors du ventre ?

- Bébé 2 : Eh bien, il y a beaucoup d'histoires à propos de "l'autre côté"... On dit que, là-bas, il y a beaucoup de lumière, beaucoup de joie et d'émotions, des milliers de choses à vivre... Par exemple, il paraît que là-bas on va manger avec notre bouche.

- Bébé 1 : Mais c’est n’importe quoi ! Nous avons notre cordon ombilical et c’est ça qui nous nourrit. Tout le monde le sait. On ne se nourrit pas par la bouche ! Et, bien sûr, il n’y a jamais eu de revenant de cette autre vie... donc, tout ça, ce sont des histoires de personnes naïves. La vie se termine tout simplement à l’accouchement. C'est comme ça, il faut l'accepter.

- Bébé 2 : Et bien, permet moi de penser autrement. C'est sûr, je ne sais pas exactement à quoi cette vie après l’accouchement va ressembler, et je ne pourrais rien te prouver. Mais j'aime croire que, dans la vie qui vient, nous verrons notre maman et elle prendra soin de nous.

Bébé 1 : "Maman" ? Tu veux dire que tu crois en "maman" ??? Ah ! Et où se trouve-t-elle ?

Bébé 2 : Mais partout, tu vois bien ! Elle est partout, autour de nous ! Nous sommes faits d'elle et c'est grâce à elle que nous vivons. Sans elle, nous ne serions pas là.

Bébé 1 : C’est absurde ! Je n’ai jamais vu aucune maman donc c’est évident qu’elle n’existe pas.

Bébé 2 : Je ne suis pas d’accord, ça c'est ton point de vue. Car, parfois lorsque tout devient calme, on peut entendre quand elle chante. On peut sentir quand elle caresse notre monde. Je suis certain que notre Vraie vie va commencer après l’accouchement...

Comme ce petit bébé qui croit à la vie après l'accouchement je crois à la vie après la mort, et je suis persuadée que notre vie sur terre n'est qu'un passage, où Dieu s'occupe de nous même si nous ne le voyons pas... 

Cette petite fable fait réfléchir... et c'est très important d'y penser maintenant, parce que dans le cas des deux bébés, qu'ils croient ou pas à la vie après l'accouchement, la suite de l'histoire sera la même, l'un s'apercevra simplement qu'il s'était trompé et vivra heureux comme l'autre avec sa maman. Pour ce qui concerne la vie après la mort en revanche, ce que nous croyons avant de mourir aura un impact irréversible sur la vie d'après. 

Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique (Jésus), afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle.

Qui croit au Fils a la vie éternelle ; mais qui désobéit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. Evangile selon Jean chapitre 3 versets 16 et 36

19 mars 2016

Ce qui est le mieux pour tes enfants, c'est toi !

 

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Dans le bureau d’un pédiatre, une mère a photographié un texte attaché au mur, avec une liste de conseils pour élever des enfants. Elle l’a publié sur Facebook, où il a été lu de nombreuses fois et a reçu des milliers de commentaires.

Le texte est libérateur. Nous devons être les meilleurs pères et mères que nous pouvons. Laissons de côté tous les jugements et les recettes qui prétendent garantir un succès.

Voici le texte original traduit de l’espagnol :

Le mieux, c’est…

Le mieux, ce n’est pas le sein. 
Ce n’est pas non plus le biberon. 
Le mieux, ce n’est pas de le prendre dans les bras. 
Ce n’est pas non plus de ne pas le prendre dans les bras. 
Le mieux, ce n’est pas de le poser de telle manière. 
Ce n’est pas non plus de le poser de telle autre manière. 
Le mieux, ce n’est pas de le couvrir de telle façon. 
Ce n’est pas non plus de le couvrir de telle autre façon. 
Le mieux, ce n’est pas de lui donner de la nourriture en purée. 
Ce n’est pas non plus de lui donner de la nourriture en morceaux. 
Le mieux, ce n’est pas ce que dit ta mère. 
Ce n’est pas non plus ce que dit ta femme ou ton mari. 
Le mieux, ce n’est pas qu’il reste avec une nourrice. 
Ce n’est pas non plus qu’il aille à la crèche ou qu’il reste avec ses grands-parents. 
Le mieux, ce n’est pas de suivre un certain type d’éducation. 
Ce n’est pas non plus de suivre un autre type d’éducation. 

Sais-tu ce qui est vraiment le mieux ? 
Le mieux c’est toi… 

Le mieux, c’est ce que ton instinct te dicte. 
Le mieux, c’est ce qui t’aide à te sentir bien. 
Le mieux, c’est ce qui te permet d’être heureux ou heureuse avec ta famille. 

Car si tu vas bien, ils recevront le mieux. Car le mieux, c’est toi. 
Car si tu te sens sûre de toi, ils se sentiront aussi sûrs d’eux-mêmes. 
Car si tu estimes bien faire, ta tranquillité et ton bonheur les atteindront aussi. 

Car le mieux c’est toi. 
Cessons de dire à chaque père ou à chaque mère, ce qui est le mieux pour lui ou pour elle. 

Car ce qui est vraiment le mieux pour tes enfants, c’est toi. 

         
   
14 mars 2016

L'eau bénite purifie l'âme du péché et repousse le démon

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De Aliénor Gamerdinger pour Aleteïa.

L’eau a toujours été associée à Dieu, dans la tradition biblique. C’est un élément purificateur, qui donne vie à la nature et à l’homme. C’est par cet élément que Dieu a signé sa première alliance avec le peuple élu, en séparant la mer Rouge en deux, et en préfigurant ainsi le baptême chrétien : il faut passer par l’eau purificatrice pour arriver au Ciel. En se signant avec de l’eau bénite, le chrétien affirme sa foi en Dieu le Père, Fils, et Saint Esprit, et Lui demande Sa bénédiction au nom des trois personnes de la Sainte Trinité. C’est aussi une protection divine, car elle chasse les démons. Pour cette raison, elle se trouve à l’entrée de toutes les églises catholiques.

Jésus a été baptisé dans le Jourdain, a marché sur l’eau, a proclamé être la source d’eau vive : « Jésus lui répondit : “Quiconque boit de cette eau aura encore soif ; mais celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura jamais soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle » » (Jean 4, 14).

L’eau a ainsi toujours fait partie des rituels liturgiques bibliques. Tous les ans, prêtres catholiques et orthodoxes profitent respectivement des fêtes de Pâques et de Noël pour bénir leurs eaux. Tous les mois, les femmes juives pratiquantes vont au bain rituel, sorte de hammam religieux, pour purifier leur corps de leur semaine d’indisposition, et ainsi retrouver le contact physique avec leur époux. Dans le judaïsme, les femmes se rendent également au bain rituel 40 jours après avoir mis un enfant au monde, et c’est bien à cet acte précis que fait référence le quatrième mystère joyeux du Rosaire : la présentation de Jésus au temple et la purification de la Vierge.

Dans l’église catholique, l’eau bénite est considérée comme sacramentelle, au même titre que les crucifix, médailles, images pieuses, rosaires, cendres et rameaux. Elle est utilisée pour les baptêmes, bénédictions de personnes, objets, ou lieux, mais aussi comme protection contre le démon. Le père Gabrielle Amorth, ancien chef exorciste du diocèse de Rome, explique dans son livre : Confessions, mémoires de l’exorciste officiel du Vatican, que l’eau bénite est si puissante que si l’on en verse en cachette quelques gouttes sur les vêtements ou dans la nourriture d’une personne possédée, celle-ci réagira immédiatement, ne pouvant supporter son contact.

Comme beaucoup de chrétiens possèdent chez eux un bénitier, l’Église leur conseille d’en faire profiter les âmes du Purgatoire. En en jetant face à eux en faisant le signe de croix, ils peuvent demander à Dieu d’en rafraichir les saintes âmes n’ayant pas encore atteint le Ciel. En effet, de nombreux récits reconnus par l’Église enseignent qu’il existe plusieurs niveaux dans le Purgatoire, et que dans plusieurs d’entre eux les âmes achèvent d’expier leurs fautes par le feu.

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L’eau bénite purifie l’âme du péché et repousse le démon

L'eau a toujours été associée à Dieu, dans la tradition biblique. C'est un élément purificateur, qui donne vie à la nature et à l'homme. C'est par cet élément que Dieu a signé sa première alliance avec le peuple élu, en séparant la mer Rouge en deux, et en préfigurant ainsi le baptême chrétien : il faut passer par l'eau purificatrice pour arriver au Ciel.

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7 mars 2016

Recettes de Carême

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Velouté de courgettes

 

Lasagnes d'épinards et ricotta

 

Pot-au-feu végétarien au gruyère 

 

Gratin de merlan aux pommes de Terre 

 

Chou à la crème 

 

 

Des idées de recettes savoureuses pour le Carême

Alors que nous arrivons bientôt à la mi-Carême, se priver de viande et d'aliments trop riches nous demande peut-être plus d'efforts qu'en début de Carême. Pas de panique ! Aleteia vous donne quelques idées de recettes variées et savoureuses qui vous aideront à tenir bon jusqu'à Pâques. 1.

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